La medecine alternative, également désignée médecine non conventionnelle ou médecine douce, regroupe différentes pratiques médicales légales visant des fins thérapeutiques. C’est devenu une meilleure alternative pour éviter le recours à des traitements médicaux plus agressifs, plus coûteux et présentant des effets secondaires. Sur ce, le patient doit comprendre au préalable pourquoi et comment bien suivre une thérapie de médecine alternative.
Découvrir les différents types de médecine alternative
En général, la medecine alternative se distingue en 4 grandes familles. À savoir, la thérapie biologique utilisant les produits naturels extraits des espèces animales, minérales ou végétales, la thérapie manuelle, la thérapie par approche corps-esprits et la thérapie reposant sur des bases théoriques.
En France, l’acupuncture doit être exercée par les médecins et sages-femmes disposant un DU ou un DIU délivré par la faculté de médecine. En effet, cette pratique (que ce soit au laser, en acupression, en moxibustion ou en luminopuncture) consiste à stimuler les zones précises de l’épiderme par des moyens tels que les aiguilles, les moyens physiques et physico-chimique, voire même la piqûre des abeilles.
Par contre, la balnéothérapie est une pratique proche du thermalisme qui exploite les bienfaits des bains et de l’eau. Ensuite, la chiropraxie est une pratique thérapeutique manuelle permettant de diagnostiquer-prévenir-traiter les troubles des appareils locomoteurs et leurs effets secondaires sur la santé. Par ailleurs, l’hypnothérapie utilise l’hypnose à des fins thérapeutiques.
Par la suite, la kinésithérapie ou physiothérapie, désigne un traitement par mouvement visant à renforcer et maintenir les capacités fonctionnelles. En outre, la naturothérapie est une pratique thérapeutique permettant de rétablir l’équilibre du fonctionnement de l’organisme en recourant régulièrement à différentes techniques : massages, changement de consommation alimentaire, activités physiques, amélioration de l’hygiène de vie, etc.
L’ostéopathie consiste à débloquer les structures anatomiques entre elles et le dysfonctionnement mécanique de l’organisme. La phytothérapie consiste à traiter une maladie (cancer ou diabète ou autre) en ayant recours aux plantes (extrait hydroalcoolique des plantes alcoolatures, gélule, poudre, tisane, etc.) et aux principes actifs naturels (ADN de bactérie, docetaxel, gentamicine, hémisynthèse, héparine, insuline, paclitaxel, etc.) à titre de médicament alternatif à effet préventif. Enfin, le principe de la sylvothérapie repose sur l’effet tranquillisant et la qualité de l’air… Pour en savoir davantage, consultez des sites spécialisés comme www.medecine-alternative.fr.
Avantages de suivre une thérapie de la médecine alternative
En général, le recours à la therapie alternative constitue une solution naturelle au service du bien-être. En effet, celle-ci sert à traiter efficacement différentes maladies d’ordre physique, mental et spirituel. En particulier, l’anxiété, le sevrage tabagique, l’arthrose, le cancer, le diabète, la déprime, les douleurs, les fatigues, les insomnies, les maux de grossesse, le rhume, le stress, la toux, les troubles digestifs, les voies respiratoires, etc.
Contrairement aux soins proposés par la médecine conventionnelle, ceux offerts par la médecine alternative présentent moins d’effets secondaires ou indésirables, d’ailleurs, ils sont également moins agressifs. Puis, vous serez également bien traité par des professionnels de santé ayant acquis un DU ou un DIU délivré par la faculté de médecine.
Aussi, en France, la pratique de la médecine alternative a été reconnue comme une pratique médicale légale de ce fait, elle est réglementée par le code de déontologie et code de santé publique. Pour finir, ces méthodes naturelles se révèlent souvent moins onéreuses.
Conseils pour suivre une thérapie alternative
De prime abord, il est vivement conseillé de privilégier les rumeurs véhiculées par les proches ou les professionnels de santé avant de s’y investir. Aussi, pensez à vous renseigner sur la renommée du praticien, la qualité du service client, sa réputation, l’efficacité du traitement, le type de therapie alternative (acupuncture, aromathérapie, balnéothérapie, homéopathie, etc.)...
Il faudra également porter une attention particulière au diplôme (DU ou DIU) obtenu par le thérapeute. Vérifiez par la suite les conditions d’accès à la thérapie, le nombre de séances prescrit, la localisation du cabinet, le déroulement de la séance et le montant de sa prestation. Toutefois, vous devez faire savoir au préalable à votre thérapeute : la nature de la maladie, les différents symptômes sentis, la géolocalisation…